Je ne vais pas ici refaire toute la démo concernant le pourquoi de l’eau osmosée. C’est le top du top et le reste est quasiment à oublier tant la comparaison n’est pas possible cependant voici en gros mes réflexions.
Les différents types d’eau
Eau de ville : C’est la pire crasse qui soit en termes d’eau de boisson ou de cuisson voire de nettoyage des légumes. A réserver donc pour les toilettes, la machine à laver et la voiture.
Eau de pluie : Bien que tout cela semble naturel ce qui ne l’est pas c’est tout ce qu’il y a dedans. Hé oui, l’eau de pluie sert à décrasser tout ce qui se trimballe dans l’air (crasse, chimie, pollutions) sans parler de l’aspect informationnelle… C’est tout juste bon à arroser le jardin cependant si vous la collecter pour la passer ensuite dans un osmoseur tout est ok.
Eau de source collectée sur place : Rien de moins sournois que ça car ça parait toujours cristallin mais une bonne analyse chimique et bactériologique vous racontera la belle histoire que tout est archi pollué. L’osmoseur reste donc la seule arme possible pour rendre cela potable.
Eau du puits : c’est la même histoire que l’eau de source ci-dessus mais avec encore plus de pesticides, herbicides and co. Les “exploitants agricoles” sont les premiers destructeurs de la planète bien que leurs champs semblent respirer la nature….
Eau en bouteille plastique : C’est mieux que tout ce que j’ai nommé au-dessus cependant c’est loin d’être un gage de sécurité pour votre santé. Différents traitements sont effectués au nom de la sécurité alimentaire et c’est globalement craignos tout en étant très cher à la longue autant pour le porte-monnaie que pour l’écologie.
Eau de Source “contrôlée” : C’est un poil plus que l’eau à bas prix sur le plan qualitatif mais au final cela est loin d’apporter le bienfait désiré outre le fait qu’en termes énergétiques et informatifs ça vole toujours aussi bas.
Eau spéciale site sacré ou religieux : C’est la croyance qui fait tout et cela ne vaut absolument pas mieux que toutes les eaux précitées…
Eau distillée : Par son principe d’obtention, elle est parfaite cependant il y a plusieurs bémol à l’affaire à commencer par le matériel utilisé.
Si c’est un appareil électrique (et malgré toutes les protections électromagnétiques vendues à grand renfort de publicité), l’information contenues dans l’eau est une crasse de première. Cependant cette dernière peut être maintenant annuler grâce au désinformeur utiliser en Fab 2 et sous condition que la vitesse de l’eau soit suffisante. Il nous faut donc faire des essais. Affaire à suivre donc…
Si c’est par un appareil de distillation chauffé au gaz, la crasse informative dûe à l’électricité disparait mais cependant il faut faire attention au distillateur lui-même en ne prenant que des distillateurs en inox. S’il y a du cuivre, vous oubliez de suite car c’est l’empoisonnement assuré. Hé oui, ce qui valable pour fabriquer de l’alcool ne l’est pas pour l’eau courante. On a fait des essais et la sonnette d’alarme a été tirée très vite.
Eau filtrée : Il existe une pléthore de filtres en tous genres et cela n’est qu’un essai de début de filtration pour l’eau de boisson. C’est commercialement la jungle à ce niveau et le seul véritable apport est surtout psychologique principalement.
Eau osmosée : En vérité, qu’importe l’eau qui alimente l’osmoseur (eau de ville, du puits ou de pluie) le résultat est toujours le même : impeccable. Cependant, choisir un osmoseur dépend de beaucoup de paramètres qu’il est bien d’avoir en tête avant de faire des achats.
Paramètres pour le choix d’un osmoseur
1) la place allouée : Un osmoseur classique (sans moteur) prend quand même un peu de place cependant il existe quelques modèles qui sont design et qui peuvent être mis à la vue de tous cependant les différentes connexions à son bon fonctionnement sont difficiles à cacher. C’est globalement silencieux mais le rapport est d’environ 3 à 4 litres d’eau consommés pour 1 litre d’eau osmosée produite.
2) la pression de l’eau : Si la pression est insuffisante à l’entrée de l’osmoseur alors il faudra prendre un osmoseur avec un moteur intégré. Ça fait du bruit mais le rapport est d’environ 2 litres d’eau consommés pour 1 litre d’eau osmosée produite.
3) la dureté de l’eau : S’il y a trop de calcaire dans l’eau, il sera alors impératif de rajouter un adoucisseur d’eau sous peine d’avoir la membrane de l’osmoseur partir en morceaux assez rapidement.
4) la turbidité : C’est la transparence de l’eau et donc le taux de déchet en suspension. Cela s’applique aux eaux de surface (mare, cours d’eau) ou de collecte (eau de pluie principalement mais de puits quelquefois). L’eau de ville n’est généralement pas concernée (on n’est pas en Afrique).
5) la quantité d’eau à fournir : Les données souvent fournies par les constructeurs ne prennent pas en compte les marcheurs qui sont par nature de gros consommateurs.
6) l’installation : Tout le monde n’est pas plombier par nature et souvent cela est un frein. C’est généralement dû à un manque d’information d’abord et ensuite de débrouillardise. Il est ainsi possible d’installer un osmoseur sans rien percer du tout (c’est la grosse peur principale).
7) le prix : Là c’est la jungle et les prix vont de 1 à 12 pour un même matériel. Ce fut pour moi l’empêchement principal jusqu’au moment où j’ai vraiment gratter et que j’ai trouvé que c’était un foutage de gueule complet.
L’expertise développée par l’Equipe au sol
J’ai commencé par un petit osmoseur compact, puis un normal, puis avec et sans moteur, puis j’ai doublé la capacité que j’ai ensuite quadruplé (CDC oblige). J’ai aussi fait pour le nomadisme (avec et sans moteur aussi) pour arriver à un ultra-portable branchable partout. Et le tout à des tarifs incompréhensibles pour les revendeurs normaux.
Bref, c’est accessible à tous et celui qui me dit qu’il ne peut pas s’en offrir un reste quelqu’un qui manque d’informations et surtout qui a des préjugés infondés qui le bloque dans sa décision finale.
Articles et vidéo à propos de l’eau osmosée et des osmoseurs
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