La phase d’encodage dans son principe est simple (il suffit de mettre des 5C2P au contact de l’eau) cependant, j’ai remarqué qu’au fil du temps des incompréhensions se sont immiscées au point de voir des aberrations…
Je vais donc tout reprendre à la base (comme si de rien n’était) et chacun ajustera selon les habitudes prises. Vous verrez c’est beaucoup plus simple que ce que la majorité d’entre vous font, bien que cela puisse sembler être un processus astreignant.
Croyez-moi, le temps passé à faire une bonne eau encodée dépasse largement tout ce que vous pouvez faire à côté. Je vois tellement de gens me poser des questions sur des trucs annexes qui ne rapporteront que des cacahuètes en termes de résultat alors que leur eau de base ne reçoit que très peu d’attention.
Je vais donc répéter les éléments essentiels à retenir pour faire simple :
1) Versions d’encodage
Le temps a bien évolué depuis les tous débuts où nous étions avec la version 1 de l’encodage Petit Poucet qui en vérité était une version de démo… A ce jour, nous en sommes à la version 5 (communément appelé 5C2P). C’est comme vouloir comparé un prospectus publicitaire avec l’Encyclopédia Universalis…
Dit autrement ce que j’ai dit tout au début n’a plus rien à faire avec la manière de faire de maintenant. Il est donc nécessaire de faire un toilettage dans les façons de faire en partant du principe que maintenant tout le monde a la dernière version.
Cependant, il va falloir que je commence à éclaircir la base de la base avec le point 2 suivant.
2) Eau de consommation et eau de référence
Dans les premiers temps, il n’y avait pas vraiment de différence entre l’eau que l’on buvait et l’eau de référence d’où la nécessité de mettre des cailloux dans la bouteille de boisson. Hé bien maintenant c’est fini tout ça et il n’y a plus besoin d’associer les deux et donc d’avoir en permanence des cailloux qui cling-cling dans la bouteille à chaque fois que l’on se sert…
Avec la version 5, il n’est absolument plus nécessaire de faire cette association car il existe maintenant 2 eaux à clairement identifier :
a) l’eau de référence : comme son nom l’indique c’est cette eau qui va falloir monter en puissance au maximum. Elle aura donc sa propre vie et n’aura rien à voir avec votre eau de consommation. Elle est bien évidement osmosée de base.
b) l’eau de consommation : c’est l’eau que vous allez boire, celle que vous allez consommer. C’est donc elle qui suivra tous les traitements quels qu’ils soient. Inutile donc qu’il y ait des 5C2P dedans pour la faire monter en puissance puisque c’est le rôle essentiel de l’eau de référence… Fini donc le tintement caractéristique des cailloux qui s’entrechoquent avec le verre de la bouteille quand on veut la vider.
Secundo, vous verrez dans la vidéo ci-dessous que je fais une différence supplémentaire avec l’eau de « jour » et l’eau de « nuit ». Hé oui, il faut bien vous compliquer un peu la tâche…
3) Combien faut-il faire d’eau de référence ?
Pour répondre à cette question, il faut commencer par définir de combien vous avez besoin d’eau de consommation car c’est de cette dernière que vous pourrez calculer combien il vous faut avoir d’eau de référence.
Aussi, pour éviter d’avoir à faire votre eau trop souvent (parce que je n’aime pas passer ma vie à ça) mais aussi pour que votre eau de référence ait le temps vraiment de monter en puissance, je pars sur la base d’une dizaine de jour mais ça peut faire 15 si c’est l’hiver ou une semaine si c’est l’été…
Donc pour faire simple, si je pars sur une base de 10 litres et partant du principe qu’il me faut 1 litre d’eau de référence pour fabriquer 4 litres d’eau de consommation, je sais qu’il me faudra alors 2,5 litres d’eau de référence.
Pour fabriquer 2,5 litres d’eau de référence il me suffira d’avoir 4 bouteilles d’1 litre dans laquelle il y a environ 1/4 à 1/3 de 5C2P par bouteille. Cela me donne d’emblée le poids de 5C2P qu’il me faut en tout soit 2 kg.
Et puis ensuite, ayant pris la précaution de mettre mes 10 litres d’eau de consommation dans un bac plastique de 40 litres, je pourrai plus tard (une fois la montée en puissance faite – compter 2 heures à minima) je pourrai rajouter sans problème 30 litres d’eau supplémentaire pour obtenir 40 litres d’eau de consommation au dernier cri de mon eau de référence.
Bref, dans la vidéo suivante je reprends le raisonnement et vous allez voir c’est super simple !
4) Actions préconisées sur l’eau de référence
L’objectif, comme vous vous en doutez, est d’abord et avant tout d’avoir une eau la plus montée en puissance possible. Il y a donc des points essentiels à suivre pour ce faire.
a) Mettre les bouteilles à l’abri de la lumière afin d’éviter le développement des algues. Moi, j’ai mis dans un bac noir avec couvercle.
b) Laissez un temps suffisant entre 2 prélèvements pour que l’eau monte significativement en puissance
c) Avant de diluer l’eau de référence, donnez-lui un coup de booster et faites seulement ensuite la dilution. Vous serez ainsi au maximum des capacités de montée en puissance disponibles.
d) Si vous pouvez la dynamiser alors ne vous en privez pas. Cela ne sera que du bon mais inutile de le faire systématiquement. Une fois devrait suffire.
e) Inutile de la vortexée car cela s’affaiblira de toute façon au bout de quelques heures.
f) Bien évidemment, toute eau que vous rajouterez sera osmosée et surtout désinformée.
g) Si un jour, on passe à une version supérieure en encodage, inutile de jeter la version actuelle. Rajoutez seulement les cailloux de la nouvelle version à raison d’au moins 10% ainsi vous ne perdrez rien du tout dans l’affaire.
5) Actions conseillées sur l’eau de consommation
a) Une fois l’eau montée à son max dans votre bac plastique transférer cette eau dans des bouteilles ou bocaux en verre. Personnellement je fais dans des bocaux de 3L car ça va plus vite et surtout c’est le format idéal pour le processus de dynamisation.
b) Mettez-les à l’abri de la lumière si possible mais rien de grave si des algues vertes se développent. Ça veut au moins dire que c’est vivant !
c) Point besoin de mettre des 5C2P dedans.
d) Vous pouvez utiliser cette eau pour tout cependant si vous avez un dynamiseur, il est bien de la dynamiser au fur et à mesure de votre consommation dans des proportions raisonnables (ne faites pas tout en une seule fois surtout si vous avez de grosses quantités).
e) J’utilise mon booster uniquement pour l’eau que je vais vortexée sinon cela n’en vaut pas la peine car dans l’affaire c’est surtout votre eau de référence qui est à chouchouter.